Bonjour,
Les 100 jours de silence et d'illégalité sont écoulés: les conséquences sont ravageuses
Il fut un temps où les médias de France parlaient des pays africains qui étaient gérés depuis Paris par des réseaux politico-affairistes comme de « républiques bananières ». Le terme était certes méprisant, mais reflétait une situation où l'ancienne puissance coloniale avait gardé la mainmise sur les richesses minières des pays en question en se subordonnant complètement les dirigeants politiques et administratifs de ces Etats.
Aujourd'hui, les choses ont changé pour....la France! A force de mépris ouvert contre les populations, de protection des massacres, de couverture des génocides et d'opérations militaires à des fins profitables à quelques entreprises françaises, la France a dressé contre elle tout le continent noir, ou peu s'en faut.
Résultat: les sociétés françaises sont chassées, les unes après les autres, de leurs activités en Afrique au profit de groupes américains, chinois, voire brésiliens ou japonais.
Pendant que cet échec économique et politique formidable se fait jour, les « experts » français de l'Afrique en sont réduits à se réunir à Paris dans des salons luxueux pour mesurer l'ampleur du recul français en Afrique.
En vallée de la Gorre, un phénomène similaire, mais de bien moindre envergure, est en cours avec le Président de la Communauté de communes qui traite ses habitants, mais aussi les développeurs potentiels de la région, avec un évident mépris, dont le contenu économique, social, politique, est ravageur.
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NOTE DE TRADUCTION DU TEXTE SOUS LA PHOTO: " si vous pouvez avoir des doutes sur les compétences et capacités des autres, il n'y a aucune limite aux choses que vous pouvez rater sans en avoir été avertis"
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En Afrique, l'indicateur d'impuissance des décideurs français face aux évènements réels est la tenue de réunions insensées donnant lieu à une logorrhée verbale inutile.
En vallée de la Gorre, l'indicateur d'impuissance du Président de la Communauté de communes face aux réalités dramatiques actuelles est d'une part, un silence méprisant autant que vain face aux citoyens, et de l'autre, une logorrhée écrite sur des projets qui ne développent rien, mais constatent l'effondrement progressive de l'économie et de l'emploi locaux.
En parallèle à ce silence nuisible qui ne règle rien et aggrave tous les problèmes, nous voyons des administrations placées dans l'incapacité d'assumer leur rôle de structure républicaine permettant à la fois de corriger les erreurs politiques et gestionnaires commises comme de stopper les dérives constatées.
Le résultat est sans appel: la vallée de la Gorre est laissée en état d'abandon global- voire de délabrement- et ce sur tous les plans, par ceux qui sont en charge de promouvoir et contribuer à son destin ainsi qu'à un possible vrai développement.
Comme cela fut le cas vis à vis de l'Afrique francophone, la gestion actuelle de la vallée de la Gorre mène droit au désastre. Pour éviter ce dernier, des changements radicaux sont indispensables.
En Afrique, quand il fut clair que la France méprisait à la fois les peuples ET les dirigeants des Etats francophones de ce continent, ces derniers ouvrirent la voie aux intérêts d'autres pays, ce qui, de facto, a amené la France à devenir au cours des années une puissance de second rang dans le monde, jouet des crises récurrentes et payant de plus en plus cher ses approvisionnements énergétiques.
En vallée de la Gorre, les impuissances politiques et gestionnaires, qui sont la marque d'un mode de fonctionnement rigide, immobile et sans avenir mènent droit aux mêmes résultats: d'un coté, le mécontentement populaire jusqu'ici latent s'organise et s'exprime, de l'autre, il devient chaque jour plus nécessaire de changer les manières de gérer, fonctionner, réfléchir et agir.
Chacun est ainsi confronté à ses responsabilités:
- le Président de la communauté de communes est face au vide de développement propre de la région: il lui faut donc taxer sans cesse plus les habitants, directement et indirectement, ce qui va générer un mécontentement croissant.
- Les autorités de l'Etat, au niveau local, ne contribuent pas plus à l'essor de la vallée en saisissant au bond les possibilités qui s'offrent à elles, tout cela pour ne pas gêner un système de gestion locale catastrophique, verrouillée et sans avenir. Ce système politique local est qualifié sur un blog d'investisseurs financiers vers la France de « nord coréen » tant il est vu comme rigide et inefficace! Le prix à payer en sera plus élevé car la situation actuelle est sans issue, ni perspective.
En effet, en économie de marché, il n'existe que deux voies fiscales de gestion pour les communes et les communautés de communes:
soit générer des ressources fiscales nouvelles par le développement économique,
soit écraser d'impôts et taxes les citoyens, tout en réduisant services publics et droits sociaux.
Monsieur Alain Blond emmène donc toute la vallée de la Gorre au désastre prévisible par ses silences et ses incompétences. Il interdit ce faisant toute initiative privée d'expansion économique en vallée de la Gorre car incapable de dialogue constructif et d'anticipation créatrice.
L'impasse de la voie actuelle est totale pour lui, ses élus, les communes de la Gorre, les autorités de l'Etat et...les habitants.
Les 100 jours de silence méprisant du maire de Saint Laurent sur les dossiers des habitants de Vignerie- relayé peureusement par un Etat défaillant dans cette affaire- démontrent à toutes et tous les limites des capacités réelles des intéressés.
Comment la vallée de la Gorre pourrait-elle progresser sur un plan quelconque avec des responsables :
- qui mentent sur les taxes et redevances et versent dans des confusions lamentables,
- qui ne savent pas corriger leurs erreurs quand elles leur sont démontrées,
- qui appellent la gendarmerie à leur aide quand ils sont piégés par leurs mensonges (comme des petits Laurent Gbagbo en Côte d'Ivoire ),
- qui méprisent ouvertement les investisseurs potentiels dans la région,
- qui rédigent des projets n'apportant aucun emploi pour les habitants, mais seulement des titres artificiels sans contenu concret,
- qui refusent de dialoguer avec les habitants et les personnes capables de dynamiser une économie moribonde,
Voilà toutes les questions que ces 100 jours de silence de Monsieur Alain Blond à de simples citoyens posent en toile de fond pour tous les habitants de la vallée de la Gorre.
Des questions auxquelles répond en écho pour le moment un silence lourd, assourdissant et pathétique tant il crie des impuissances et incompétences gestionnaires totales.
La rédaction du blog des citoyens de la vallée de la Gorre et des environs
( rédigé et mis en ligne le 18 décembre 2010)
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Iconographie du jour afin de marquer 100 jours d'incompétence et de silence d'un élu: cette iconographie en 4 temps est offerte à Monsieur Alain Blond en cadeau pour tenter de l'éduquer au dialogue démocratique
En tête d'article, la première image traite de l'incompétence démocratique qui trouve, selon l'auteur, un professeur érudit, sa source dans un défaut de dialogue entre élus et citoyens. En vallée de la Gorre, si certains élus savent dialoguer avec attention, d'autres en sont absolument incapables pour le moment. Cet ouvrage est à recommander particulièrement à Monsieur Alain Blond qui mélange encore taxe et redevance, mais sans vouloir admettre ses erreurs et ignorances.
La deuxième image évoque le prix de l'incompétence dans la gestion des sociétés privées, mais les mêmes conclusions s'appliquent aux élus. La gestion de dossiers de Saint Laurent et de la communauté de communes par Monsieur Alain Blond nécessite qu'il lise vite ce livre (tous les élus peuvent aussi y trouver d'utiles éléments de réflexion).
Au milieu de l'article, la photo d'un politicien (américain) que certains reconnaîtront peut-être, célèbre pour son incompétence et son manque d'horizon démocratique. La note traduite vaut règle générale. Rien n'intredit d'en faire son profit pour le futur.
Enfin, en bas de l'article, un libre ironique qui se moque des incompétences. A l'évidence, la gestion de la vallée de la Gorre par le Président de la communauté de communes risque bientôt de passer, via Internet, dans les annales mondiales de l'incompétence gestionnaire. De chacun selon ses capacités, à chacun sa notoriété!
