Ci-dessus une photo d'un stock d'or, cet or que la Chine rafle dans le monde entier, celui qui existe déjà et les mines qui le produiront dans le futur. Ces achats massifs, passés longtemps inaperçus dans l'information, montrent que la Chine se prépare à bouleverser le système financier mondial, non pas pour le modifier légèrement, mais pour le dominer et le faire agir au profit de ses dirigeants, banquiers et financiers.
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Bonjour,
Il existe à l'évidence un rapport entre les difficultés d'accès aux concours financiers du Crédit Agricole pour les paysans français et les dettes grecques de cette banque.
Ce rapport s'exprime très concrètement par les déboires très lourds en termes financiers du Crédit Agricole dans le pays de l'Acropole.
Ce lien rappelle que la banque mutualiste a déjà bien perdu beaucoup d'argent en Grèce, argent que les agriculteurs et producteurs de lait, par exemple, et pas seulement eux, ne pourront se voir prêter à des taux favorables à leur survie économique :
Et ces informations viennent après celle-ci dont la direction de la banque ne s'est pas trop vantée auprès de sa clientèle rurale française :
Puisqu'on parle de gestion de l'argent collectif, public ou privé, cette information montrera que les anciens « intouchables » de certaines affaires sulfureuses ne le sont plus quand les choses deviennent par trop malodorantes et publiques :
Les deux intéressés par le vote du Sénat seront donc désormais des justiciables comme les autres, sans plus aucun passe-droit de nature monarchique face à la Justice de la République.
Pour revenir sur le plan international, plan où les événements ont des conséquences directes sur la vie et l'emploi des citoyens en France, donc en vallée de la Gorre, on notera cet article qui aborde un sujet qui n'est pas souvent évoqué, mais qui provoque une grande inquiétude dans les cercles dirigeants des pays occidentaux, qui, comme le résume l'auteure, impriment de la monnaie papier « ex-nihilo » (en clair, sur du vide) :
Ce phénomène de l'achat massif d'or physique dans le monde par l'Etat chinois, mais aussi maintenant par des sociétés privées de divers pays au compte de la Chine, est intéressant à plus d'un titre.
Si l'auteure de l'article paru sur le site « Atlantico » s'arrête à une volonté politique de placement du yuan chinois comme future monnaie internationale, de plus appuyée sur des masses d'or, un autre analyste, de la lointaine New York, nous livre sa vision, un peu plus affinée de cette orientation :
« En rachetant l'or physique existant dans le monde, mais aussi les mines qui le produisent, la Chine se place en situation de demain pouvoir manipuler massivement, et à son unique profit, les cours d'un or qui a déjà beaucoup augmenté du fait des crises depuis 2008. Elle aura en effet en mains les réserves essentielles du monde et possédera les sources d'approvisionnement pour ce métal précieux entre tous. Dit autrement, la Chine se dote ainsi de l'arme non-militaire fondamentale d'une grande puissance internationale : la mainmise sur l'or, donc sur le système financier mondial !
Ce que prépare cette politique aurifère de Pékin n'est, ni plus, ni moins, qu'un bouleversement total des rapports de force au sein du système financier mondial, la Chine devenant l'Etat qui décidera des choix et actions du système, car elle détiendra l'arme absolue: qui possède l'or transforme sa monnaie en monnaie internationale d'échange.
Pour les Etats-Unis et l'Europe, ce monopole de l'or mondial par la Chine signifie la fin de leur rôle prépondérant dans le système financier mondial. Les conséquences de ces bouleversements sur les dettes occidentales, libellées en dollars et en euros, seront colossales».
Tout ceci ne doit pas pour autant masquer que, depuis quelques semaines, l'Union européenne réfléchit à ouvrir ses marchés public aux entreprises des pays dits « émergents » :
Verra-t-on bientôt concourir aux marchés publics en vallée de la Gorre des entreprises venues de très loin et voulant chasser qui, VEOLIA, qui, la SAUR, qui une autre entreprise française, même limousine ou cantonale, de contrats qu'elles se croyaient acquis ?
Voilà des informations intéressantes pour les citoyens et élus de notre vallée, et aussi pour les sociétés qui croyaient que l'UE était un marché « européen » fermé aux autres entreprises, fermé à la mondialisation des échanges et des capitaux, protecteur en un mot......
Les dernières barrières menacent de tomber, avec à la clé des conséquences ravageuses pour les salaires, les emplois, la protection sociale et les économies locales.
Pendant ce temps, à la SAUR, les plaintes pénales se succèdent (pour détournements de fonds, malversation, diffamation).
L'article des Echos, signé par Myriam Chauvot, journaliste expérimentée du secteur de l'eau, laisse entendre que la SAUR, avec sa dette bancaire de 1,6 milliard d'euros, pourrait ne pas passer le cap de 2014 :
Certes, un fonds américain, Oaktree, spécialiste en redressement d'entreprise, vise une prise de capital à bas prix de la SAUR, mais, pour les consommateurs d'eau potable de notre vallée, comme tous ceux de la SAUR, et pour les salariés de cette société, cela risquerait d'annoncer des hausses substantielles de tarifs pour les premiers et des licenciements, voire des pertes de salaires pour les seconds.
On attend avec intérêt les réactions à ces informations PUBLIQUES des élus du Syndicat des eaux Vienne-Briance-Gorre, à la fois sur les accusations de malversations financières qui pleuvent en tous sens au plus haut niveau de la SAUR et sur la probabilité, de plus en plus claire, de faillite de la SAUR en 2014, ou avant!
On ne pourra pas dire que notre blog citoyen n'aura pas essayé de les alerter, de leur passer les informations, de les mettre en garde et de solliciter leur attention à l'intérêt public dans ces conditions.
La rédaction du blog des citoyens de la vallée de la Gorre et des environs
( rédigé et mis en ligne le 16 mars 2012)
Ci-dessous, un livre que Joël Séché et les hauts dirigeants de la SAUR ont dû lire avant de déposer des plaintes les uns contre les autres sur la base de graves accusations. Il n'en reste pas moins que la SAUR doit rembourser avant 2014 1,6 milliard d'euros de dette bancaire et qu'elle ne le pourra probablement pas, ce qui risque de la conduire à la faillite ou à une reprise. Dans les deux cas, les contrats passés entre élus et SAUR deviendront des sources de gros problèmes, pour les élus qui n'auront pas voulu ouvrir les yeux devant les faits actuels, pour les salariés de la SAUR menacés dans leur avenir et pour les citoyens qui sont fournis en eau potable par la SAUR. Dossier à suivre, mais un dossier qui prend du poids et de la réalité jour après jour.
